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En fait, la question n’est pas de connaître la raison pour laquelle on en est arrivé à une telle situation, mais de comprendre pourquoi le participe passé "parlé" ne s’accorde pas alors que "disputées" s’accorde.
La faute est bien sûr incluse dans le titre puisqu’il s’agit de "inclue" (la faute).
Et l’on ne compte plus le nombre de fois où cette erreur apparaît dans les courriels, sur les réseaux sociaux, et parfois même dans la presse.
Mais quelle en est la raison ?
⚠️ Avertissement
Autant vous le dire tout de suite, ce qui va suivre risque d’en choquer plus d’un(e).
Pour compléter l'article consacré au pluriel des noms composés, je vais tenter de vous aider à comprendre les règles d’accord des adjectifs de couleur.
On ne compte plus le nombre de fois que l’on entend "Je suis venu(e) en vélo", "il roule toujours en vélo", etc.
Pourtant, tous les puristes vous le diront, on ne dit pas en vélo mais à vélo.
Nous avons tous été victimes un jour de ces erreurs de langage.
Bon nombre de mots se ressemblent parfois tant et si bien que l’on a tendance à les confondre (il n’y a parfois qu’une lettre ou une syllabe qui changent).
Si quelques-uns peuvent parfois passer inaperçus à l’oral, ces mots n’ont ni la même orthographe, ni le même sens. C’est ce qu’on appelle des « paronymes ».
En voilà un tout petit mot qui nous donne bien du souci !
En effet, bien que ce pronom personnel se conjugue toujours à la 3e personne du singulier, on hésite souvent lorsqu’il s’agit d’accorder l’adjectif ou le participe passé qui s’y rapporte.
Généralement, les adjectifs s’accordent en genre et en nombre avec le nom qu’ils qualifient.
Il existe cependant quelques cas particuliers où ils restent invariables.
antidote, astérisque, obélisque, aérogare, anagramme, cerne, apostrophe, éclair, effluve, épithète, en-tête, etc. : masculin ou féminin ?
Afin de retenir une bonne fois pour toutes le genre de certains noms qui posent souvent problème, il existe certaines astuces (se référer à ce qu’ils représentent, par exemple) ou autres moyens mnémotechniques.
Guidée par des fautes de langage persistantes, l’orthographe de certains mots s’en trouve écorchée. C’est ce qu’on appelle des « barbarismes ».