ARTICLES AVEC LE TAG : "astuces"
En fait, la question n’est pas de connaître la raison pour laquelle on en est arrivé à une telle situation, mais de comprendre pourquoi le participe passé "parlé" ne s’accorde pas alors que "disputées" s’accorde.
La faute est bien sûr incluse dans le titre puisqu’il s’agit de "inclue" (la faute).
Et l’on ne compte plus le nombre de fois où cette erreur apparaît dans les courriels, sur les réseaux sociaux, et parfois même dans la presse.
Mais quelle en est la raison ?
⚠️ Avertissement
Autant vous le dire tout de suite, ce qui va suivre risque d’en choquer plus d’un(e).
Pour compléter l'article consacré au pluriel des noms composés, je vais tenter de vous aider à comprendre les règles d’accord des adjectifs de couleur.
Voici deux formules de dénouement souhaité très largement utilisées dans nos écrits.
Malheureusement, en raison de la proximité phonétique de « serais » (verbe être) et « saurais » (verbe savoir), ainsi que de la parfaite équivalence des deux tournures, il n’est pas rare de commettre l’irréparable.
Voilà une question que nous ne nous posons pas trop à l’oral. En revanche, lorsqu’il s’agit de passer à l’écrit, le doute, voire l’ignorance, s’installe.
Cette hésitation est d’autant plus légitime que l’on se trouve devant un cas remettant en cause la définition même de l’adverbe
Voici encore deux homophones qu’un grand nombre de personnes confondent.
Ils sont pourtant bien différents tant par leur forme grammaticale que par leur signification.
14. décembre 2018
Voici deux homophones dont on a tendance à méconnaître l’existence même.
Il faut dire qu’ils sont particulièrement difficiles à différencier tant ils sont proches, servant tous deux à introduire une notion de concession.
L’orthographe sera cependant une différente selon le sens de la phrase.
Ni l’un ni l’autre par pitié !!! 🙏
Voici deux pléonasmes qui sont malheureusement tombés dans le langage courant.
Dans les médias, sur les réseaux sociaux, dans notre entourage, de Monsieur Toute-le-monde aux hommes et femmes politiques, en passant par les journalistes et vedettes, ces expressions semblent prendre le pouvoir.
Employés à la forme impersonnelle (c’est-à-dire que le sujet "il" ne représente rien), on confond parfois les verbes falloir et valoir. De plus, les deux consonnes f et v étant phonétiquement très proches, cela n’aide pas à les distinguer.